La contrefaçon DE

mobilier : un fléau qui
coûte cher

Le mobilier est l’un des secteurs les plus touchés par la contrefaçon.

Les copies illégales des célèbres marques de meubles, luminaires, tapisseries et autres accessoires de décoration inondent le marché. Vendues à des prix attractifs, elles attirent les consommateurs à la recherche de bonnes affaires, cible privilégiée des contrefacteurs. Cependant, cette pratique n’a rien d’innocent.

La contrefaçon est un véritable fléau pour les fabricants de meubles, les designers et l’industrie du mobilier en général. Elle porte aussi préjudice aux consommateurs qui se retrouvent avec des produits de mauvaise qualité.

Les causes de la contrefaçon de meubles design

Les conséquences de la contrefaçon du mobilier design

La mondialisation de l'économie.

Les produits contrefaits sont fabriqués dans des pays où le coût de la main-d’œuvre est bas, où les règles de propriété intellectuelle sont moins strictes. Les contrefacteurs en profitent pour copier les designs des grandes marques et les vendre à un prix inférieur sur les marchés étrangers.

La facilité de production des copies.

Les contrefacteurs utilisent des matériaux de qualité inférieure et des méthodes de production peu coûteuses pour copier les designs originaux. Souvent de mauvaise qualité et ne respectant pas les normes de sécurité, les copies peuvent mettre en danger la vie des consommateurs.

La difficulté pour les acheteurs de démêler le vrai du faux.

Notamment avec la montée en puissance des sites internet marchands. Sur Internet, les meubles imaginés par de grands designers sont parfois jusqu’à dix fois moins chers que ceux vendus en boutiques.

Des chaises de Harry Bertoïa, des fauteuils de Charles Eames, des pendules de Georges Nelson, les tables tulipe d’Eero Saarinen ou encore les canapés en cuir Le Corbusier-Jeanneret-Perriand étaient encore reproduits et vendus, il y a peu, par le site Bokkob implanté en Grande-Bretagne.

Un nouveau site frauduleux par semaine émerge en France pour Fritz Hansen, fabricant de la chaise la plus copiée au monde (la « Série 7 » par Arne Jacobsen).

La contrefaçon a de lourdes conséquences sur l’industrie du mobilier, les marques et les designers :

Elle entraîne une perte de revenus pour les fabricants de meubles qui voient leurs produits copiés et vendus à bas prix.

Elle porte également atteinte à la réputation des icônes du design et des marques, avec des créations volées et copiées sans leur consentement.

Les copies de mobilier de mauvaise qualité ne répondent pas aux normes de sécurité et peuvent représenter un danger pour les consommateurs. D’autant plus que ces produits ne bénéficient pas des garanties et des services après-vente des marques originales.

Elle contribue à la perte d’emplois dans l’industrie du mobilier et nuit à la croissance économique.

Elle favorise l’économie souterraine et la dévalorisation des savoir-faire propres aux fabricants de meubles.

Les mesures prises contre la vente de mobilier de contrefaçon

Face à ce fléau, l’industrie du mobilier, les marques et les designers ont pris des mesures pour lutter contre la contrefaçon. Les grandes marques s’arment d’équipes de lutte contre la contrefaçon pour traquer les copies illégales de leurs produits.
Leur objectif : les faire retirer du marché.

Les gouvernements ont également pris des mesures pour renforcer les règles de propriété intellectuelle et lutter contre la contrefaçon. Des accords internationaux ont été signés pour protéger les droits de propriété intellectuelle et punir les reproductions illégales.

Les mesures prises contre la vente de mobilier de contrefaçon

Face à ce fléau, l’industrie du mobilier, les marques et les designers ont pris des mesures pour lutter contre la contrefaçon. Les grandes marques s’arment d’équipes de lutte contre la contrefaçon pour traquer les copies illégales de leurs produits.
Leur objectif : les faire retirer du marché.

Les gouvernements ont également pris des mesures pour renforcer les règles de propriété intellectuelle et lutter contre la contrefaçon. Des accords internationaux ont été signés pour protéger les droits de propriété intellectuelle et punir les reproductions illégales.

Selon l’Article L511-1 :

 

« Peut être protégée à titre de dessin ou modèle l’apparence d’un produit, ou d’une partie de produit, caractérisée en particulier par ses lignes, ses contours, ses couleurs, sa forme, sa texture ou ses matériaux. Ces caractéristiques peuvent être celles du produit lui-même ou de son ornementation.

Est regardé comme un produit tout objet industriel ou artisanal, notamment les pièces conçues pour être assemblées en un produit complexe, les emballages, les présentations, les symboles graphiques et les caractères typographiques, à l’exclusion toutefois des programmes d’ordinateur. »

Xavier Pauchard, créateur de la marque Tolix, Charles et Ray Eames qui ont démocratisé le meuble design, Ludwig Mies van der Rohe qui dessine la chauffeuse Barcelona, Charlotte Perriand qui revisite le style nippon, le canapé Togo de Michel Ducaroy…

Autant de noms et de créations, qui connotent l’élite du mobilier design. Devenus populaires, ils entrent dans le quotidien des consommateurs, ils définissent une façon de vivre.

Aujourd’hui, ces créations de célèbres designers sont si prisées du public et des connaisseurs que les contrefaçons se multiplient sur le marché.

Comment reconnaître un mobilier authentique et distinguer le vrai du faux ?

Certaines contrefaçons sont si soignées que même les connaisseurs peuvent se faire duper.

Avant d’acheter, 3 pistes peuvent guider votre choix :

– Regarder si le logo du fabricant est gravé, parfois la signature
du designer. La marque Mirima® est gravée sur chacune des
pièces produites.
– Renseignez-vous auprès du fabricant sur le coût du produit
original. Si celui que l’on vous propose est très inférieur, c’est
qu’il s’agit d’une copie.
– Consultez le site Internet du fabricant de mobilier pour
connaître ses revendeurs agréés.

Mirima® une marque engagée contre la contrefaçon

 

Depuis 1958, Mirima® s’est fait une place de choix dans l’univers du mobilier design. Univers mondialisé au sein duquel le consommateur a du mal à distinguer l’authenticité et la qualité, le vrai du faux.
Le célèbre tabouret Tracteur de Mirima®, référencé au Musée des Arts Décoratifs de Paris, imaginé pour la FNAC en 1971 par Etienne Fermigier, en a d’ailleurs fait les frais.
Ce tabouret iconique a malheureusement toujours été victime de contrefaçon de par son succès.
Singularité, produits fiables et ergonomiques, Mirima® s’est totalement adaptée aux pratiques et à l’environnement de ses clients.

Bien consciente que l’aménagement des espaces de travail et des espaces de vie sont des facteurs déterminants de performance et de bien-être, Mirima® vise à apporter une véritable valeur ajoutée au quotidien de ses clients.

La contrefaçon de mobilier représente un fléau en plein essor contre lequel Mirima® investit chaque année. La marque s’est entourée de l’expertise du Cabinet Conseil en Propriété industrielle Mark and Law pour renforcer la protection de ses modèles et brevets déposés.

Mirima® s’engage à valoriser sa marque et les designers qui la font vibrer tout en garantissant une qualité sans égal à ses clients.